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cabrer n.m. HIPPOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1861 - «Il n'y a aucune énormité à dire le cabrer, qui est physiologiquement et physiquement l'opposé de la ruade. Le cabrer, substantif, est au verbe ce que sont le boire, le dormir et tutti quanti E. Gayot, in Encycl. pratique de l'agriculteur, IV, col. 376 (Didot) - P.E.
cabrer v.tr. AÉRON. - FEW (2, 298a), GLLF, Lex.[75], PR[77], 1928, Lar. ; TLF, cit. Morand, 1932.
1914 - «L'aviateur pique tout d'abord très fortement, moteur allumé, pour acquérir une grande vitesse ; il cabre ensuite l'aéroplane, lequel, après cette manoeuvre, remonte en vertu de la vitesse acquise [...]» Lar. mensuel, mars, III, 57b - M.C.E.
cabrer v.intr. AÉRON. - R, TLF, PR[77], cit. Saint-Exupéry, 1939.
1928 - «Vent d'Est. On est aveugle. Le soleil est roulé dans ses volutes jaunes. [...] La terre n'apparaît qu'à la verticale, et encore ! Je cabre ? je pique ? je penche ? Va-t'en voir ! On plafonne à cent mètres.» Saint-Exupéry, Courrier Sud, III, VI, in Saint-ExupéryOeuvres, 70 (Pléiade) - M.C.E.