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bousiller v.tr. non conv. ACT. OBJET "détériorer"
• bouziller - TLF, 1936, Céline.
1926 - «Si, au lieu de s'être abîmé, ton gars n'avait bouzillé que sa hotte, est-ce qu'il n'aurait pas pris celle de ton tocquard ?» R. Dieudonné, Isabelle au volant, in Le Miroir des sports, 10 mars, 148a - G.S.
bousiller v.intr. non conv. ACTION "saboter son travail" - TLF (vieilli : "abîmer"), cit. Frapié, 1904 ; GR[85] (vieilli), cit. Fortunat ; FEW (1, 474b), ø d v.tr. : GLLF, TLF, DFNC, 1690, Fur. ; GR[85], 1694 ; Gc, FEW, 1728 ; L, ø d
1789 - «Comme vous bousillez !» Restif de La Bretonne, Ingénue Saxancour, t. 1, 135 (A Liège et Paris, Maradan) - R.R.
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