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affaire (toute - cessante), affaires (toutes - cessantes) loc. phrast. ACTION  TEMPS - FEW (2, 615a), 1666, La Fontaine ; L, cit. La Fontaine ; TLF, 1694, Acad. ; DG, ø d ; DELF, cit. Sergent [1946] ; R, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
• tous affaires cessans
 - absent TLF.
1542 - «Nous à ces causes vous mandons, commettons et enjoignons par ces présentes, que [...] vous ayez à toute diligence et tous autres affaires cessans, à procéder rigoureusement et sans déport contre lesdits personnages qui se trouveront de la qualité et condition dessusdite [...]» Let. patentes, in Recueil gén. des anciennes lois fr., XII, 786 - P.E.
affaires n.f. pl. TOILETTE  "vêtements" - R et PR[77], cit. Flaubert [1857] ; TLF, cit. Flaubert, 1877 ; GLLF, cit. Flaubert ; Mat.I, 20e ; FEW (3, 349b ; rég.), Lex.[75], ø d.
1841 - «Joseph ne pouvait conserver aucun vêtement propre [...]. L'aîné, par amour-propre, avait soin de ses affaires Balzac, Les Deux frères, I, ch. IV, in La Presse, 25 févr., [2e page], col. 1pré-orig. de La Rabouilleuse - M.C.E.
1841 - «Il y a cinq ou six paquets pour elle [Ursule Mirouët] aux voitures par semaine, et les couturières, les modistes viennent lui essayer ici ses robes et ses affaires BalzacUrsule Mirouët, II, ch. XIV, t. II, 30 (Bruxelles, Jamar) - M.C.E.
1842 - «Au lieu d'assister au lever du bonhomme, de lui donner ses affaires, [...] Flore le laissait s'habiller tout seul [...]» BalzacLa Rabouilleuse, II, 6, 189 (Allem) - R. b. Phil., 44, 985-M.C.E.
affaires n.f. pl. non conv. SANTÉ "règles, menstrues" - DArg., 1867, Delv. ; FEW (3, 350a), DHR, 1878, Acad. ; TLF, cit. L. Daudet, 1937.
v. 1793 - «VISE-CUL Ah ! mon dieu ! elle s'évanouit... TIR-LAPINE Voici du vinaigre des quatre voleurs, de l'eau de Cologne... FOUTAISE Il faudrait plutôt de l'eau de f... SOUPLE-FESSE Ce que c'est que de nous... ce sont peut-être ses affaires qui lui prennent... desserrez-la donc.» Les Putains cloîtrées, in Théâtre érotique, 387-8 (Pauvert et Terrain vague) - P.R.
affaires (avoir plus d'- que le légat) loc. verb. non conv. VIE SOC. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1584 - «GASTER. J'entens bien : elle n'est pas à la maison ; elle s'en est allée pourmener ; elle dort ; elle s'accoustre ; elle fait la blonde ; elle se baigne ; elle disne ; elle se trouve mal ; elle a des occupations ; elle a plus d'affaires que le legat. Voilà tousjours vos excuses ; et ce pendant le jour se passe, et les pauvres amans ont la trousse.» F. d'Amboise, Les Neapolitaines, in Anc. théâtre fr., VII, 264 (Jannet) - P.E.
affaires (faire des - à qqn) loc. verb. rég.  Ouest RELAT. "causer des ennuis à" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1722 - «Ses propres parents le dénoncèrent et lui firent des affaires pour la religion, mais n'ont jamais pu l'ébranler.» J. FontaineMém. d'une famille huguenote, 26 (Montpellier, Max Chaleil-Presses du Languedoc) - P.R.
affaires (les - sont les -) loc. phrast. ÉCON. "formule du capitalisme affairiste, pour lequel l'argent et le profit passent avant tout" - GR[85], cit. Zola, 1873 ; TLF, cit. Maurras, 1914 ; BEI, déb. 20e ; GLLF, DEL, ø d.
1843 - «A tout autre qu'à mon fils, je serais en droit de demander des intérêts ; car, après tout, les affaires sont les affaires ; mais je te les remets.» BalzacLes Illusions perdues, 126 - FXT
1868 - «GABAILLE. - [...] Nous devons nous trouver demain à deux heures chez le père, pour faire la demande. ACHILLE. - Ah ! diable !... c'est que deux heures... GABAILLE. - Quoi ? ACHILLE. Rien. (A part) L'heure de notre rendez-vous... Après tout, les affaires sont les affaires ! (Haut) J'y serai.» Labiche, Le Papa du prix d'honneur, in LabicheThéâtre, 617 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
affaires (être dans les -) loc. verb. COMM. - DG, GLLF, L, PR[73], TLF, ø d.
1800 - «Affaires d'intérêt (ou les affaires) : Cela s'entend des affaires de banque, des affaires de commerce qui faisaient jadis et feront encore la prospérité de l'Etat. Mais cela s'entend aujourd'hui des affaires d'entreprises ; et quand on dit : 'un tel est dans les affaires', l'opinion prononce sur le champ en faveur de sa bourse. Il faut avoir vu par soi-même, avoir vu de près, avoir vu dans tous ses détails ce nouvel échafaudage d'intrigue et de cupidité, pour s'en faire une idée juste.» Cousin JacquesDict. néol. (Moutardier) - LTP
affaires d'intérêt loc. nom. f. COMM. - DG, ø d ; absent TLF.
1800 - «Affaires d'intérêt (ou les affaires) : Cela s'entend des affaires de banque, des affaires de commerce qui faisaient jadis et feront encore la prospérité de l'Etat. Mais cela s'entend aujourd'hui des affaires d'entreprises ; et quand on dit : 'un tel est dans les affaires', l'opinion prononce sur le champ en faveur de sa bourse. Il faut avoir vu par soi-même, avoir vu de près, avoir vu dans tous ses détails ce nouvel échafaudage d'intrigue et de cupidité, pour s'en faire une idée juste.» Cousin JacquesDict. néol. (Moutardier) - LTP
affaires de conscience loc. nom. f. AFFECT. - GLLF, PR[73], TLF (au sing.), ø d.
1800 - «Affaires de conscience [...] De toutes les affaires qui nous ont occupés depuis douze ans, ce sont celles, sans contredit, dont nous nous sommes le moins inquiétés. On aurait eu trop à faire, vraiment ! Les autres affaires ont empêché celles là.» Cousin JacquesDict. néol. (Moutardier) - LTP
affaires de religion loc. nom. f. RELIG. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1800 - «Dans un siècle d'athéisme, où la religion était de tous les objets publics celui que l'on méprisait le moins, on n'aurait pas cru que les affaires de religion occupassent une place importante parmi les grands intérêts de l'Etat. Rien n'est pourtant plus vrai.» Cousin JacquesDict. néol. (Moutardier) - LTP
affaires judiciaires loc. nom. f. DR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1800 - «Affaires judiciaires : Jamais elles ne s'étaient tant multipliées, par deux raisons toutes simples, c'est qu'elles suivent toujours la marche des passions humaines, et que la multiplicité des lois contradictoires, qui se sont succédées sans relâche, ont rendu les procès plus épineux et les affaires litigieuses plus fréquentes que jamais.» Cousin JacquesDict. néol. (Moutardier) - LTP
affaires particulières loc. nom. f. ÉVÉN.  FAMILLE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1800 - «Quoiqu'il y ait entre les affaires particulières et les affaires publiques un point de démarcation très facile à saisir dès le premier aspect, il n'en est pas moins vrai qu'en dernière analyse, quand les unes vont mal, les autres ne peuvent aller bien ; c'est ce qu'on n'a presque jamais bien senti.» Cousin JacquesDict. néol. (Moutardier) - LTP
affaires secrètes loc. nom. f. HIST. RÉVOL. - TLF, ø d.
1800 - «On a beaucoup parlé des affaires secrètes ; les soupçons ont été sans bornes ; et faute de savoir ce qui était, on a cru ce qui n'était pas. Chacun veut être initié dans les affaires secrètes du gouvernement et j'ai vu des gens graves me révéler mystérieusement des choses qui n'avaient jamais existé.» Cousin JacquesDict. néol. (Moutardier) - LTP
affaires étrangères loc. nom. f. pl. POLIT. - DG, GLLF, L, PR[73], TLF, ø d.
Add.DDL
*1777 - «Les Affaires Etrangères sont tous les intérêts possibles qu'un Souverain, une République, ou autre Corps politique quelconque peut avoir à traiter ou à discuter avec les autres Puissances de l'Univers.» RobinetDict. univ. (Londres) - LTP
*1784 - «On donne le nom d'affaires étrangères à tous les intérêts qu'un prince, une république ou un autre corps politique peut avoir à traiter, à discuter avec les autres puissances.» DémeunierEncycl. méthodique (Paris) - LTP
affaires étrangères loc. nom. f. pl. POLIT. - DDL 11, 1777, Robinet [repris in DHR] ; GLLF, TLF, ø d.
1667 - «Le cardinal continuant toujours dans son dessein de me faire secrétaire d'etat, il m'avoit donné vers la fin de 1625 toutes les instructions et les pièces qu'il avoit touchant les affaires étrangères qui regardoient cette charge, et m'avoit dit de les mettre en tel ordre que je le jugerois le meilleur, et d'y changer et ajouter ce que je voudrois.» R. Arnauld d'AndillyMémoires, t. 2, 28 - FXT
1680 - «Vous parlez du mariage de Monsieur le Dauphin, d'affaires étrangères, de ministère, et il faut parler de passer peut-être son hiver à Pomponne, car quoiqu'il dise que non, je crains que le monde ne l'importune.» Mme de SévignéCorrespondance, t. 2, 749 - FXT
1690 - «[...] l'emploi s'en est trouvé par là comme attaché aux deux secrétaires d'Etat qui sont particulièrement chargés de la direction et de l'expédition, l'un des affaires étrangères, l'autre de celles de la guerre, et d'ailleurs au chef des finances sous les divers titres, autrefois de surintendant, et depuis de contrôleur général, qu'on lui a donné.» E. SpanheimRelation de la cour de France en 1690, 297 (Picard, 1900) - P.E.
avocat (je n'ai que faire d'-, mes affaires sont claires) loc. phrast. non conv. SANTÉ - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1627 - «[...] j'ay la foire, je n'ay que faire d'Advocat, mes affaires sont claires [...]» D. MartinLes Colloques fr. et all., 160 (Strasbourg, Faculté des Lettres) - P.E.
1640 - «Ie n'ay que faire d'Aduocat, mes affaires sont claires .i. i'ay le flux de ventre ; c'est vne allusion au mot d'affaires, qui signifie aussi l'excrement OudinCuriositez fr., 4-5 (Slatkine) - P.E.
cabinet d'affaires loc. nom. m. POLIT.  Belgique- ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1864 - «L'amiral Canaris et ses collègues persistant à se retirer après ce succès, le roi [de Grèce] a formé ce que nos voisins de Belgique appellent un cabinet d'affaires, composé d'hommes de la nuance conservatrice, sans aucun chef de parti. A sa tête est M. Valvis, de Missolonghi, homme capable et d'une grande honnêteté, qui présidait le ministère au moment où eut lieu l'élection royale.» F. Lenormant, in R. des deux mondes, t.52, 15 juill., 443-4 - M.C.
chiffre d'affaires loc. nom. m. FIN. - TLF, cit. Bricka, 1894 ; R, GLLF, Lex.[75], PR[77], ø d.
1882 - « après avoir passé par tous les grades, vendeur, puis second, puis chef de comptoir à la soie [...] il [Bouthemont, acheteur du Bonheur des Dames] achetait comme bon lui semblait, pourvu que chaque année il augmentât dans une proportion fixée d'avance le chiffre d'affaires de son comptoir [...]» Zola, Au Bonheur des Dames, ch. II, in Gil Blas, 21 déc., 1, col. 2 et 22 déc., 1, col. 3 - M.C.E.
1891 - «[...] pour arriver à l'énorme chiffre de vingt-sept mille actions ayant coûté près de quarante-huit millions. N'était-ce pas fou, d'une imprudente folie qui avait l'air de se moquer des gens, un pareil chiffre d'affaires mis sous le nom d'un Sabatani !» Zola, L'Argent, ch. XI, in Gil Blas, 13 févr., 2, col. 3 - M.C.E.
déjeuner d'affaires loc. nom. m. US. ALIM.  VIE PROF. - TLF, cit. Miomandre, 1908 ; R, PR[77], ø d.
1888 - «Sur le charreton à deux roues qu'il conduit lui-même, correct et droit, les guides hautes, Paul Astier file bon train vers son mystérieux déjeuner d'affaires [...]» DaudetL'Immortel, ch. II, 37 (Lemerre) - M.C.E.
1905 - «Antoine [...] a fait avertir 'Madame' qu'un déjeuner d'affaires le retiendrait chez Gustave Lyon.» WillyLes Egarements de Minne, 230 (Ollendorff) - M.C.E.
esprit des affaires loc. nom. m. CARACT. - FEW (12, 194a), 1690, Fur. ; DG, PR[77], ø d ; absent TLF.
1689 - «[...] pour moi, je trouve que l'esprit des affaires que vous avez est une sorte d'intelligence qui est cent piques au-dessus de ma tête, et je l'admire.» Mme de SévignéLet., à Mme de Grignan , 5 juin, III, 451 (Ed. Gérard-Gailly) - Nies.
faiseur d'affaires loc. nom. m. ÉCON. - DG, GLLF, L, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1786 - «Faire des affaires, c'est ordinairement acheter, pour revendre à bas prix et comptant. Celui qui fait métier de vendre sa faveur, son crédit, ses démarches et ses sollicitations ténébreuses, est encore un faiseur d'affaires. Celui enfin qui se charge de faire réussir des entreprises équivoques, par des moyens malhonnêtes, doit être mis dans le nombre des faiseurs d'affaires [...]» Des EssartsDict. univ. de police (Paris) - LTP
*1790 - «Qui fait ce bénéfice énorme ? Le capitaliste, le faiseur d'affaires, l'agioteur.» M. de la Gallissonière, 24 sept., in L'Inflation par les assignats, 12 (Laville) - LTP
femme d'affaires loc. nom. f. péjor.  HIST. RÉVOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1788 - «Affaires : A Paris et à Versailles, il y a des femmes encore jeunes, qui ne font autre chose que de courir chez les ministres, chez les magistrats, chez tous les gens en place, dans tous les bureaux [...] Les gens grossiers les appellent intrigantes et courtières ; mais chez les gens polis, elles sont connues sous le nom de ' femmes d'affaires'.» [Clément]Petit dict. de la cour et de la ville (Londres, Paris) - LTP
femme d'affaires loc. nom. f. MÉTIER - TLF, cit. Zola, 1891 ; GLLF, GR[85], ø d péjor. : DDL 11, 1788, Clément [repris in GR]
1818 - «Ce monsieur n'a-t-il pas aussi ses cathégories ? Voici comme il y classe la presque totalité de nos Françaises : 1 petites maîtresses ; 2 coquettes ; 3 femmes galantes ; 4 femmes d'affaires Petite chronique de Paris, année 1818, 179 (Eymery) - P.E.
madame mille affaires loc. nom. f. non conv. APPELL. "en parlant d'une femme très occupée" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1790 - «Madame Saumon. [...] mais dame, je n'en ai pas le tems ; qui ne peut ne peut. Madame Gogo. En vla ben d'une autre ! je ne savions pas que vous étiez à présent madame mille affaires Le Goûter de la Courtille, 2 (s.l.n.d.) - P.E.
ministre des Affaires étrangères loc. nom. m. MÉTIER  POLIT. - L, TLF, ø d.
Add.DDL
*1791 - «Ministre des affaires étrangères : Il est chargé : 1) De la correspondance avec les ministres, résidens ou agens que le roi enverrait ou entretiendrait auprès des puissances étrangères [...]» GautierDict. de la Constitution (Paris) - LTP
ministre des affaires étrangères loc. nom. m. MÉTIER  POLIT. - DDL 11, 1791, Gautier ; L, DG, Lex.[79], GR[85], ø d affaires étrangères : DDL 11, GR[85], 1777 ; L, DG, GLLF, TLF, ø d
1749 - «La mort de M. Amelot, ci-devant ministre des affaires étrangères, arrivée le mois dernier [...]» ColléJourn. et mém., I, 78 (Didot) - P.E.
1749 - «La mort de M. Amelot, ancien ministre des affaires étrangères, a laissé une place vacante à l'Académie française.» Raynal, in Corresp. littéraire, philosophique et critique, I, 304 (Garnier) - P.E.
1750 - «[...] les ministres des affaires étrangères, ceux de la justice et ceux des finances, faisoient journellement leur rapport au roi, qui décidoit en dernier ressort de toutes les affaires.» [Frédéric II]Mém. pour servir à l'hist. de la maison de Brandebourg, 250 (Au Donjon du chasteau) - P.E.
1775 - «[...] la Lettre du Comte de Vergennes à M. le Comte de Guines, en date du 9 Mars dernier, où le Ministre des Affaires Etrangeres lui marque le mécontentement du Roi [...]» Mém. secrets, VIII, 43 (Londres, Adamson) - P.E.
1784 - «Le ministre des affaires étrangères en est furieux.» Mém. secrets, XXV, 214 - P.E.
ministre des affaires étrangères loc. nom. m. POLIT.  MÉTIER - DDL 30, 1749, Collé ; TLF, GR[85], ø d.
• ministre d'État des affaires étrangères
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1690 - «M. de Pomponne, qui demeura dans ce poste de ministre d'Etat des affaires étrangères jusques vers la fin de l'an 1679 [...].» E. SpanheimRelation de la cour de France en 1690, 299 (Picard, 1900)Note du commentateur en 1900 : "Spanheim emploie là une expression fausse, mais qui montre bien comment peu à peu le nom de ministre s'est substitué à celui de secrétaire d'Etat." - P.E.
ministre des affaires étrangères loc. nom. m. POLIT.  MÉTIER - DDL 30, 1749, Collé ; TLF, GR[85], ø d.
• ministre pour les affaires étrangères
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1690 - «[...] je ne parle ici des affaires publiques que par rapport à la part que M. de Croissy y peut avoir surtout par son département de ministre pour les affaires étrangères [...].» E. SpanheimRelation de la cour de France en 1690, 367 (Picard, 1900) - P.E.
remueur d'affaires loc. nom. m. COMM.  FIN. - GLLF, 1874, Gazette des tribunaux ; TLF, cit. Zola, 1891 ; GR[85], ø d.
Compl.Hu (même texte, ø d)
1615 - «O le beau païs ! C'est ordinairement le sejour des folles pensées de tout temps, et d'aujourd'huy dea ! O que les grands remueurs d'affaires y feroient bien leur cas ! Qu'y fussent-ils tous ! ils ne nous eussent donné tant d'empeschement et de malheur que nous en recevons.» Vraye pronostication de Me Gonnin pour les mal-mariez, plates-bourses et morfondus, in VHL, V, 211 (Jannet) - P.E.