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AVALURE, subst. fém.
A.− MÉD. VÉTÉR.
1. Bourrelet qui se forme naturellement ou à la suite d'une plaie sur la corne du sabot d'un cheval et se détache du reste de la peau. Synon. pied neuf ou quartier neuf.
2. Maladie des oiseaux en cage, et plus particulièrement des serins, dont l'excès de nourriture provoque un durcissement et un affaissement du ventre (cf. avalé).
B.− GÉOL. Excavation naturelle du sol :
Veules est un coin de terre charmant, une pittoresque avalure de falaise. E. et J. de Goncourt, Journal,1853, p. 110.
PRONONC. − Dernière transcr. ds DG : à-và-lûr.
ÉTYMOL. ET HIST. − [1626 avallure « action de descendre qqc. » d'apr. FEW t. 14 s.v. vallis]; 1. 1678 man. avalure (Guillet, Les Arts de l'homme d'épée ou le dict. du gentilhomme, p. 22 : Avalure est la defectuosité d'une nouvelle corne mole, et raboteuse qui croit aux pieds du cheval quand il fait quartier neuf); 2. 1743 ornith. (Trév.). Dér. de avaler1* étymol. A; suff. -ure*.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 1.
BBG. − Bouillet 1859. − Dub. Dér. 1962, p. 61. − Encyclop. méthod. Mécan. t. 1 1782; t. 5 1788. − Littré-Robin 1865. − Mots rares 1965. − Nysten 1824. − Privat-Foc. 1870. − Rheims 1969.