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ATROPHIQUE, adj. et subst.
I.− Emploi adj.
A.− BOT., MÉD. et MÉD. VÉTÉR.
1. [En parlant d'une pers., d'un animal, d'une plante ou d'une partie de leur être] Marqué d'atrophie congénitale :
1. ... les jeunes grenouilles nées des œufs ainsi traités présentent des glandes génitales atrophiques, sans trace de cellules reproductrices. J. Rostand, La Vie et ses problèmes,1939, p. 45.
2. [En parlant d'une maladie] Qui s'accompagne d'atrophie. Cirrhose atrophique (cf. P.-J. Teissier ds [F. Widal, P.-J. Teissier, G.-H. Roger, Nouv. traité de méd., fasc. 2, 1920-24, p. 271]).
B.− Au fig. [En parlant d'un inanimé abstr.] Congénitalement affaibli, réduit :
2. Chez eux [les criminels], comme chez les idiots, certaines activités de la conscience sont restées atrophiques. Carrel, L'Homme, cet inconnu,1935, p. 164.
II.− Emploi subst., MÉD. Personne atteinte d'atrophie congénitale. Atrophique infantile, atrophique moyen (cf. Lar. Méd. t. 1 1971, s.v. atrophie).
Rem. 1reattest. a) Adj. (1863, Littré). b) Subst. (1928, Lar. 20e). Dér. du rad. de atrophie*, suff. -ique*.
PRONONC. − Seule transcr. ds Littré : a-tro-fi-k'.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 4.
BBG. − Garnier-Del. 1961 [1958]. − Littré-Robin 1865. − Méd. Biol. t. 1 1970.