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ASTROLOGIQUE, adj.
Qui est relatif, qui appartient à l'astrologie :
1. C'est surtout dans le livre astrologique et cabalistique, connu sous le nom d'apocalypse de Jean, qu'on retrouve les nombres douze et sept répétés à chaque page. Le premier l'est quatorze fois, et le second vingt-quatre. Dupuis, Abr. de l'orig. de tous les cultes,1796, p. 39.
2. ... la volonté libre de l'homme mise à part, les philosophes et théologiens s'accordent pour admettre un déterminisme astrologique universel. Saint Thomas estime que les mouvements des corps inférieurs sont causés par ceux des corps célestes et que les phénomènes du monde sublunaire sont régis par les mouvements des astres. Albert le Grand et Roger Bacon iraient plus loin encore; en fait, ce dernier n'hésite pas à tirer l'horoscope des religions, y compris la religion chrétienne. Gilson, L'Esprit de la philos., médiév.,t. 2, 1932, p. 164.
3. ... on s'est plus hâté à percer le secret des forces cosmiques du point de vue de la connaissance et de l'utilisation des choses que de la connaissance de l'homme. Mais si l'on se tourne vers les anciennes classifications astrologiques des caractères, on ne peut que s'étonner de leur concordance approximative avec plus d'un résultat de la morphologie et de la physiognomonie contemporaines. Mounier, Traité du caractère,1946, p. 121.
SYNT. Art, signe, symbolisme, thème astrologique; calculs, éphémérides, types, préjugés astrologiques.
PRONONC. : [astʀ ɔlɔ ʒik].
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. Av. 1558 « qui appartient à l'astronomie » (M. de Saint-Gelais, Delb. Rec. ds DG : Figure astrologique), seulement au xvies. (Hug.); 2. 1680 (Rich. : Astrologique. Qui est d'astrologie, qui regarde l'astrologie). Au sens 1, empr. au b. lat. astrologicus, (ives., Firmicus, Math., 7, p. 103, col. 1 ds TLL s.v., 966, 59); au sens 2, dér. de astrologie*; suff. -ique*.
STAT. − Fréq. abs. littér. : 30.