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ÉPÎTRE n. f.
XIIe siècle, espistle. Emprunté, par l'intermédiaire du latin epistula, du grec epistolê, « lettre ».
1. ANTIQ. Lettre missive.
2. RELIG. CHRÉTIENNE. Nom donné dans le Nouveau Testament aux lettres adressées, principalement par saint Paul, aux premières communautés chrétiennes. L'Épître aux Romains. Les deux Épîtres aux Corinthiens. - LITURG. Passage de l'Ancien ou du Nouveau Testament lu ou chanté au début de la messe, avant l'évangile. Aux messes solennelles, l'épître était autrefois chantée par le sous-diacre. Le côté de l'épître, par rapport à l'assistance, le côté droit de l'autel, où l'on faisait cette lecture. Dans les cathédrales, le trône épiscopal était généralement placé du côté de l'épître. Par méton. Vieilli. Moment où l'épître était lue ou chantée. Il est arrivé à l'épître.
3. LITTÉRATURE. Pièce de vers, traitant de sujets variés sur un ton souvent satirique, à la manière d'une lettre adressée à un personnage réel ou fictif. Les « Épîtres » d'Horace. Les « Épîtres » de Boileau. Spécialt. Épître dédicatoire, lettre mise en tête d'un ouvrage pour le dédier à quelqu'un.
4. Fam. et le plus souvent iron. Lettre. J'ai reçu de lui une longue épître à ce sujet.