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ABREUVEMENT, subst. masc.
Étymol. ET HIST. − 1. 1250 « question par l'eau » terme jur. (Ass. de Jérus., éd. Beugnot, II, 216 ds Gdf : La cort est puis tenue de ceaus destraindre par abevrement ou par martire); 2. 1275 aboivrement « irrigation » (Hagin ds Levy et Cantara, The Biginning of wisdom, an astrological treatise by Abraham ibn Ezra 1939, p. 126, d'apr. Levy, Trésor); 3. 1298 « collation offerte par le nouvel élu à un office le jour de sa réception » (Ordonn. sur le comm. et les métiers ds Étienne Boileau, Livre des métiers, éd. Depping, 355 : fut ordené par Estiène Barbete prevost des marcheans de Paris... au conseul des bones gens de Paris, que cil qui sera fet mesureur de sel, paiera por son abuvrement et pour son past VIII liv.); 4. 1341 « action de donner ou de recevoir à boire » (Mir. de St Sevestre ds Miracles de Nostre Dame par personnages, éd. G. Paris et U. Robert, t. III, p. 229, v. 1229) : Apréz veult David tesmoingnier Le bailler et le despoillier Et aussi son [de J.-Chr.] abruvement..., De l'abruver dist il moult bel : Dederunt in escam meam fel [Psalm., L XVIII, 12]. Dér. de a.fr. abeuvrer (cf. abreuver); suff. -ment*.