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SÉCULARITÉ, subst. fém.
HIST., RELIG. CHRÉT., peu usité
A. − ,,Juridiction séculière d'une église épiscopale ou autre, pour le temporel qui en dépend`` (Ac. 1798-1878).
B. − État séculier d'une personne, d'une institution religieuse. Cette lutte (...) remet en cause le caractère même de l'institution, cette sécularité acquise progressivement au cours du Moyen Âge et sur laquelle les chanoinesses et toute la noblesse ne veulent plus revenir (Remiremont, Hist. de la Ville et de son Abbaye, Vagney, G. Louis, 1985, p. 97).
Prononc. et Orth.: [sekylaʀite]. Ac. 1718: secularité; 1740-1878: sé-. Étymol. et Hist. 1. Fin xiies. « choses du siècle, mondanité » (Vie d'Edouard le Confesseur, 1275 ds T.-L.); 2. 1469, mai « qualité du clergé séculier » (Ord., XVII, 218 ds Gdf. Compl.); 3. 1718 « juridiction séculière d'une église, pour le temporel qui en dépend » (Ac.). Dér. sav. de séculier (a. fr. seculer); suff. -ité*.