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PEINTURLUREUR, -EUSE, subst.
Pop. Mauvais peintre, barbouilleur. Si tu peux dire quelque bien des peinturlureurs en question, tu obligeras des amis à moi (Flaub., Corresp., 1872, p.354).La plupart des peintres soi-disant indépendants sont des peinturlureurs (France1907).
Rem. Le fém. est att. par Lar. Lang. fr.
REM.
Peinturleur, -euse, subst.,synon.,hapax. MlleCassatt n'est, Dieu merci, ni l'une ni l'autre de ces peinturleuses (Huysmans, Art mod., 1883, p.255).Deux petites salles où s'étagent, en quelques rangées comiques, les croûtes des Cals, Rouart, Vidal et d'autres peinturleurs des plus officiels (Huysmans, Art mod., 1883, p.277).
Prononc.: [pε ̃tyʀlyʀoe:ʀ], fém. [-ø:z]. Étymol. et Hist. 1866 (Delvau); 1872 (Flaub., loc. cit.). Dér. de peinturlurer*; suff. -eur2*.