Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

notices corrigéescatégorie :
VIBRER, verbe
Étymol. et Hist. A. 1508-17 trans. « brandir » (Fossetier, Cron. Marg., ms. Brux. 10511, VI, IV, 8 ds Gdf.), attest. isolée. B. 1. Intrans. a) 1752 « produire des vibrations » (Trév.); spéc. 1761 faire vibrer les cordes vocales (J.-B. R. Robinet, De la Nature, p. 168); b) 1779 p. métaph. (Diderot, Le Neveu de Rameau, éd. J. Fabre, p. 89: C'est apparemment qu'il y a pour les unes [les belles choses en morale] un sens que je n'ai pas; une fibre qui ne m'a point été donnée, une fibre lache qu'on a beau pincer et qui ne vibre pas); 1797 (Chateaubr., Essai Révol., t. 1, p. 85: Il [Lycurgue] ne fit pas vibrer toutes les cordes du genre humain en brisant à la fois imprudemment tous les préjugés); 2. 1935 trans. constr., au part. passé béton vibré (Arts et litt., loc. cit.). Empr. deux fois au lat.vibrare, trans. « brandir; imprimer un mouvement vibratoire à quelque chose; lancer » (d'où A), intrans. « avoir des vibrations, des tremblements; vibrer [en parlant des sons] » (d'où B).