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PROLONGEMENT, subst. masc.
Étymol. et Hist. A. Dans le temps 1. 1176-84 porlongement «action de différer, délai» (Gautier d'Arras, Eracle, éd. G. Raynaud de Lage, 4730); xiiies. prolongement (Roques t.1, II, no624: prolatio. prolongement); 2. 3etiers xiiies. [date ms.] prolongement «action d'augmenter la durée de quelque chose» (Troie, éd. L. Constans, 2022, var.); 3. a) 1779 «ce par quoi un événement, une activité, une situation se prolonge ou semble se prolonger» (Restif de La Bret., Vie de mon père, p.270: les Enfants sont un prolongement de l'existence des Pères); b) 1860 plur. «conséquences, suite» (Dochez, citant J. J. Ampère, s. réf.). B. Dans l'espace 1. a) 1731 «ce qui prolonge quelque chose» (J. Terrasson, Sethos, t.1, p.325); b) 1784 loc. dans le prolongement de (Bern. de St-P., Ét. nature, t.1, p.263); 2. 1814 anat. prolongement rachidien (nom donné par Chaussier d'apr. Nysten); 3. 1831 bot. prolongements médullaires (H. Lecoq et J. Juillet, Dict. raisonné des termes de bot., Paris, p.521 ds Doc. DDL); 4. 1876 arboric. «rameau destiné à prolonger la tige principale d'un arbre» (Du Breuil, op. cit., p.145); 5. 1948 math. (Gds cour. pensée math., p.166); 1968 prolongement d'une application (Lar. encyclop. Suppl.). Dér. de prolonger*; suff. -ment1*.