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PROLONGATION, subst. fém.
Étymol. et Hist. A. 1. [Ca 1265 (copie ms. du xviiies.) «action de prolonger dans le temps» (Statuts de l'Hôtel-Dieu de Pontoise, chap.I ds L. Le Grand, Statuts d'Hôtels-Dieu et de Léproseries, Paris, 1901, p.130: ne que par trop grande prolongation [des matines] soient [les malades] grevés)] 1342 (Jacques Bruyant, Chemin de povreté et de richesse ds Ménagier, éd. Sté Bibliophile fr., 1846, t.2, p.15a: respondray je Briefement, sans prolongation); 2. 1559 «espace de temps supplémentaire» (Amyot, Vies des hommes illustres, Pompée, fo454 vo: la prolongation de son gouvernement); 3. 1842 mus. (Ac. Compl.); 4. 1901 football (L'Auto-Vélo, 15 avr. ds Petiot 1982); 1941 jouer les prolongations (La France au Travail, 17 févr. ds IGLF). B. 1314 «extension, longueur (dans l'espace)» (Chirurgie Henri de Mondeville, éd. A. Bos, § 375: les utilités de la prolongation et de l'involucion des boiaus), rare dans ce sens. Empr. au lat. chrét. prolongatio «prolongation, prolongement; éloignement» (ives. ds Blaise Lat. chrét.), dér. de prolongare (prolonger*).