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PAMPRE, subst. masc.
Étymol. et Hist.1534 «branche et feuilles de vigne» (Rabelais, Gargantua, éd. R. Calder et M. A. Screech, chap.XII, p.89); 1550 «vigne» (Ronsard, Ode au roi, 330, OEuvres, éd. P.Laumonier, t.3, p.25: Ainsi que les champs tapisses de pampre, ou d'espics herissés); 1694 spéc. archit. (Corneille: On appelle Pampre en Architecture, Un feston de feüilles de vigne et de grappes de raisin, qui sert d'ornement à la colonne torse). Du lat. pampinus «branche, feuillage de vigne» d'où est également issu l'a. et m. fr. pampe, subst. fém. «pétale» (1270, Voirie de Paris A.N. Y3, fo5 voap.Félibien, Hist. de Paris, IV, 310b ds Gdf. Compl.; cf. aussi T.-L.), la forme pampre, due au traitement particulier de -p(i)n- (cf. coffre de cophinus) étant une var. dial. propre aux pays de la Loire répandue par les aut. de La Pléiade (FEW t.7, p.532b et 534b).