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MOLLIR, verbe
Étymol. et Hist. A. Trans. 1. 2emoitié xiiies. «rendre mou» (Médicinaire liégeois, éd. J. Haust, 1. 494 et 1088); 2. 1555 «affaiblir, faire céder» (Ronsard, Odes, Livre I, VI, var. vers 97, éd. P. Laumonier, t.1, p.96: molir le courage [cf. déjà 1552, Amours, CXVI, 10, ibid., t.4, p.114: Mollis un peu le roc de ton courage]); 3. a) 1691 mar. «lâcher progressivement (un cordage tendu)» (Ozanam, p.306); b) 1820 id. mollir la barre (Will., p.266). B. Intrans. 1. 1462 «devenir mou» (Villon, Testament, éd. J. Rychner et A. Henry, vers 323); 2. 1669 «céder, manquer de fermeté» (Molière, Tartuffe, vers 622, Grands Écrivains de la France, t.4); 3. 1683 «manquer de force, faiblir, fléchir» (Boileau, Lutrin, éd. Ch.-H. Boudhors, V, 198). Dér. de mou1, mol, molle*; dés. -ir.