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Étymol. et Hist. 1403 godinette « jeune fille réjouie et agréable » (d'apr. FEW t. 4, p. 79a) cf. 1454 sa godinette chiere (Banquet du boys, Poés. fr. des xv^eet xvi^es., X, 211 ds Gdf.); d'où 1549 baiser en godinette (Sibilet, L'Iphigenie d'Euripide, ibid.); 1808 embrasser en godinette (Hautel). Dér. avec suff. -ette* du m. fr. godin « élégant, coquet », ici en parlant d'un pourpoint, ca 1445 (Farce joyeuse de galans et du monde, 390 ds Rec. gén. des sotties, éd. E. Picot, t. 1, p. 42), lui-même dér. de l'a. fr. gaudir (< lat. gaudere) v. ce mot.