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CHEIK(H),(CHEIK, CHEIKH) subst. masc.
Étymol. et Hist. 1309 seic « chef de tribu chez les Arabes » (Joinville, Hist. de Saint-Louis, éd. N. de Wailly 1906, p. 82, 84 et 110); 1568 schet (Le Roy, trad. des Politiques d'Aristote, I, 2, Commentaire ds Hug.); 1598 cheque (Premier livre de l'hist. de la nav. aux Indes orientales par les Hollandois, Amsterdam, fo11 rods Fr. mod., t. 17, p. 133), formes isolées; 1631 cheik (ici au sens de « prêtre de la religion musulmane ») (J. Armand, Voyages d'Afrique..., Paris, p. 178 cité par Arveiller ds Mél. Dauzat, p. 25); 1676 scheik (ici au même sens) (Tavernier, Voyages, II, p. 40 ds Dalg. t. 2, p. 430, s.v. xeque); 1725 sheik (C. Le Bruyn, Voyages, Rouen, 1725 ds Fr. mod., t. 14, p. 294), forme rare; 1798 cheick (Ac.), forme reprise en 1834 par Lamartine, Des Destinées de la poésie, p. 406 et entre 1865 et 1908 par Coppée, Poésies complètes, t. 2, p. 203, rare; 1838 cheikh (Ac. Compl. 1842). Empr. à l'ar. šayḫ « vieillard » (FEW t. 19, p. 170a; Lok., no1775).