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CENTRAL, ALE, AUX, adj. et subst.
Étymol. et Hist. I. Adj. 1377 « situé au centre d'un cercle, d'une sphère » (Oresme, Livre du ciel et du Monde, 61 b 2 ds Mediœval Studies, Toronto, 1943, t. 5, p. 298); av. 1820 terres centrales (L'Abbé Raynal ds Lav.); 1718 mécan. force centrale (Ac.); 1787 (Fér. Crit. : Vous regardez-vous comme le point central de l'univers?); av. 1793 pouvoir central (Barnave, Réfl. pol., t. 2, p. 101 ds Brunot t. 9, 1, p. 1025, note 6); spéc. a) école centrale (du département) (Jouy, L'Hermite de la Chaussée d'Antin, t. 2, 1812, p. 16), institution créée par la Convention en 1795, qui cesse d'exister lorsqu'apparaît en 1802 le lycée (Lar. encyclop.); École centrale désigna ensuite l'École centrale des arts et manufactures (1853, E. et J. de Goncourt, Journal, p. 107); d'où 1879 fam. subst. masc. p. ell. central « élève de l'école centrale » (Alid., Revers de la médaille ds Larch. Suppl.); b) 1827 maison centrale (Vidocq, Mémoires, t. 1, p. 177); d'où 1878 subst. masc. arg. central « détenu d'une maison centrale » (Rigaud, Dict. du jargon parisien, p. 75). II. A. subst. masc. 1883 télécomm. (G. Fustier, Suppl. au dict. de la lang. verte d'A. Delvau, p. 505); 1928 central téléphonique (Malraux, Les Conquérants, p. 116); B. subst. fém. 1927 centrale électrique (R. Champly, Nouv. encyclop. pratique, t. 1, p. 27 bis); 1956 centrale syndicale, supra ex. 9. I empr. au lat. class. centralis « placé au centre », lui-même dér. de centrum « centre »; II substantivation de I.