BOUTE-EN-TRAIN, subst. masc. et adj.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1694 (
Boursault,
Mots à la mode, sc. 15 dans
R. Hist. litt. Fr., 1898, p. 300 : Un beau nœud de brillants dont le sein est saisi S'appelle un
boute-en-train ou bien un tatez-y), acception relevée dans aucun dict.;
2. 1718 (
Ac. :
Bout-en-train. On appelle ainsi un petit Oyseau qui sert à faire chanter les autres, & qu'on nomme autrement Tarin. Et figurément on appelle aussi de la sorte dans le style familier & bas, Un homme de plaisir, qui excite les autres, & qui les met en train).
Composé de la forme verbale
boute (
bouter* étymol. 2) et de la loc.
en train* « en mouvement ».