BAVARDAGE, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − [Ne se trouve pas dans
La Muse normande, éd. Héron 1891-94, t. 2, p. 172, réf. donnée par
Quem. et corresp. par ailleurs à la date de 1638 et non 1647; confusion probable avec
bardage*]; 1746 « propos de bavard » (
La Morlière,
Angola, Paris, 1879 p. 198 : Angola renvoya à l'instant les femmes destinées à déshabiller la Princesse. Il se chargea volontiers de ce soin et ferma les verrous pour se mettre à l'abri de tous les
bavardages dont ils eussent été accablés); 1798 (
Ac. :
Bavardage. Action de bavarder).
Dér. de
bavard*; suff.
-age*.