BARDIS, subst. masc.
Étymol. et Hist. xvies. « cloison en planches » (
Chron. bordeloise, I, 262 dans
Gdf. Compl. : En ceste annee, un jeune homme, artisan de son mestier, et demeurant au Caharnan, sçachant que sa voisine (mijau de
bardis entre deux) vefve depuis un an d'un homme qui avait tenu hotellerie, estoit honestement riche, s'advisa de faire un petit trou au dit
bardis, pour y passer le bout d'une sarebacane); d'où mar.
a) 1691 (
Ozanam,
Dict. math., Paris, p. 284);
b) 1732 (
Rich. :
Bardis. C'est aussi les séparations de planches qu'on fait à fond de cale, pour charger des blez et d'autres grains). Dér. du rad. de
bardeau1*; suff.
-is*.