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APPROPRIEMENT, subst. masc.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. 1339 anc. dr. « mode de transfert des propriétés (terme usité en Bretagne) » (Morice, Pr. de l'H. de Bret., I, 1395 ds Gdf. : Et est tenu rendre et faire avoir a noble homme Mons. Hervé de Leon son frere toutes les lettres d'appropriment, d'engagement et de conquest, qui furent conquis et retraits ou nom dudit Erard, ... et especialment les lettres des approprimens que il ost sur la ville et le terroir de Keralguezen); 1456 (1330?) appropriement (La très-ancienne coutume de Bretagne, ch. 41 ds Nouveau coutumier général, éd. Bourdot de Richebourg, Paris, 1724, t. 4, p. 209); 2. 1611 appropriement « agencement » (Cotgr.) − 1681, Oudin; repris au xixes., E. et J. de Goncourt, supra. Dér. de approprier*; suff. -ment1*. Av. 1305 appropriement ad. « d'une manière appropriée, d'une manière qui est propre à » attest. isolée (J. de Meung., Remonstr. de Nat., 447, Méon ds Gdf. : Ore est l'air proprement humide; Appropriement le feu l'aide Et l'eau est froide proprement, Et humide appropriement Que de l'air elle prent et pesche).