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OLIVINE, subst. fém.
MINÉR. Péridot granulaire des basaltes, minéral transparent ou translucide, d'éclat vitreux, le plus souvent de couleur vert olive, parfois brunâtre, rouge ou grisâtre (d'apr. Schubnel 1981). Le plus souvent l'olivine est en grains engagés dans le basalte et ses tufs (Lapparent, Minér., 1899, p.459).Un liquide qui varie du ton sombre de l'olivine au blanc vert du lait qu'on mire à travers une bouteille (Colette, Belles sais., Mes cahiers, 1941, p.151).
Prononc.: [ɔlivin]. Étymol. et Hist. 1798 (Reuss, Dict. de minér., p.395). Dér. de olive*; suff. -ine (v. -in); cf. lat. sc. des minéralogistes olivinus att. ds Reuss, op. cit., p.293), et angl. olivine att. en 1794 (ds NED qui signale que cette dénom. a été donnée en 1790).