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O.R.L., subst. et adj.
A. − [Sigle pour oto-rhino-laryngologie] Maître de conférence, professeur agrégé en O.R.L. Manuel pratique d'ORL (de F. Legent, P. Fleury, Ph. Narcy, C. Beauvillain, Paris, 1982).
B. − [Sigle pour oto-rhino-laryngologiste] La balle est encore et apparemment pour longtemps dans le camp des ORL pour filtrer les cas suspects à diriger vers le neuroradiologue (Le Concours méd., 1er-8 janv. 1983, vol. 105, no1/2, p.45, col. 2).
C. − [Sigle pour oto-rhino-laryngologique] Examen O.R.L. Toute anomalie à la troisième semaine d'évolution [d'une otite moyenne aiguë] est un signe de complication (...). Un bilan O.R.L. est absolument indispensable (Dict. pratique de thérap. méd., Paris, Masson, 1975, p.948).Une grande partie des douleurs observées en oto-rhino-laryngologie relève des mêmes voies nerveuses que la sphère bucco-dentaire. Le GLIFANAN y a également illustré son efficacité tant dans les algies d'origine sinusienne, que dans des céphalées de la sphère O.R.L. (Laboratoires Roussel, Glifanan, ca 1978, p.32).
Prononc.: [ɔ ε ʀ εl], [o-]. Étymol. et Hist. 1. 1926 «oto-rhino-laryngologie» (L. Baldenweck, Oto-rhino-laryngologie, Paris, p.191: Les Sources d'éclairage en O.R.L.); 2. 1952 «oto-rhino-laryngologiste» (J. Piquet, M. Tupin, Pathol. et chir. O.R.L. de guerre, Paris, p. 43); 3. 1952 «oto-rhino-laryngologique» (Id., ibid., p. 1). Sigle de oto-rhino-laryngologie*, oto-rhino-laryngologiste*, oto-rhino-laryngologique*.