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* Dans l'article "MYCOLOGIE,, subst. fém."
MYCOLOGIE, subst. fém.
BOT. Partie de la botanique qui étudie les champignons. Revue de mycologie. Le Hollandais C. H. Persoon (1755-1837) a été à la fois, pourrait-on dire, le Jussieu et le Linné de la mycologie. On lui doit en effet, outre le terme même de mycologie, la publication du premier grand système relatif aux champignons (Hist. gén. sc., t.3, vol.1, 1961, p.434).
Mycologie médicale. ,,Étude des champignons présentant un intérêt en pathologie humaine (ou même animale)`` (Méd. Biol. t.2 1971). La mycologie est une jeune science, en plein développement, sans doute elle s'est déjà ramifiée en disciplines devenues vite autonomes: phytopathologie, mycologie médicale, bactériologie (Hist. gén. sc., t.3, vol.2, 1964, p.787).
Prononc.: [mikɔlɔ ʒi]. Étymol. et Hist. 1831 (Lecoq et Juillet, Dict. raisonné des termes de bot., p.420). Formé des élém. myco-* et -logie*, cf. le lat. sc. mycologia, 1822, Persoon, Mycologia Europaea, et l'angl. mycology att. dep. 1836 ds NED. Mycologie a remplacé le plus anc. mycétologie (1783, N. J. Necker, Traité sur la mycitologie).
DÉR.
Mycologique, adj.Qui se rapporte, qui appartient à la mycologie. Observation mycologique; système mycologique. À la fin du siècle dernier, quelques journaux suffisaient à assurer la publication de toute la production scientifique de botanique (...) Le Bulletin de la société mycologique de France, la Revue bryologique, étaient spécialisés chacun dans l'étude d'un grand groupe végétal (Civilis. écr., 1939, p.26-8).[mikɔlɔ ʒik]. 1reattest. 1840 (Ac. Compl. 1842); de mycologie, suff. -ique*.