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HYDROGÉOLOGIE, subst. fém.
A. − Vieilli. ,,Étude des eaux répandues à la surface du globe`` (Littré). De l'œuvre de Lamarck nous ne retenons plus guère actuellement que la Philosophie zoologique; mais ses contemporains lisaient ses autres ouvrages, en particulier l'Hydrogéologie (Hist. gén. sc.,t. 3, vol. 1, 1961, p. 508).
B. − Branche de la géologie qui traite des eaux des nappes souterraines. V. Civilis. écr., 1939, p. 26-9 :
La prospection minière est de plus en plus liée aux méthodes de la stratigraphie, de la géophysique et de la géochimie. Il en est de même de la recherche des sources d'énergie, charbon et pétrole, sans oublier la construction des grands barrages et l'hydrogéologie. Hist. gén. sc.,t. 3, vol. 2, 1964, p. 507.
Prononc. : [idʀoʒeɔlɔ ʒi]. Étymol. et Hist. 1. 1802 (Lamarck, Hydrogéologie ou recherches sur l'influence qu'ont les eaux sur la surface du globe terrestre); 2. [1851 « branche de la géologie qui traite des eaux des nappes souterraines » (réf. anonyme signalée par R. Plégat ds Cast.-Margat)]; 1861 « id. » (Jacquet, L'hydrogéologie). Mot composé de hydro-* et de géologie*.