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roulance n.f. TECHNOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «Je veux en venir à ceci : sur ces fils métalliques, j'installe un plancher d'ébonite, substance douée du double mérite d'une admirable roulance et de nulle conductibilité électrique, et dites-moi quel plus admirable motoroad !» A. Allais, M.-E.-R. ou the new American moto-elevated-road, in Le Sourire, 26 août, in A. Allais, Oeuvres posthumes, t. 8, 89 (1970) - R.R.
roulance n.f. ARG. IMPRIM. "bruit que font les ouvriers typographes pour annoncer qu'ils ont réussi à se jouer de qqn" - E, 1807 ; FEW (10, 503a), 1808, D'Hautel ; absent TLF.
1793 - «Les imprimeurs se servent de leurs broyons qu'ils font mouvoir dans l'encrier, en imitant une espèce de roulement, ou font rouler leur manivelle ; et ils nomment ce bruit une roulance. Quoique la roulance occasionne un bruit très-désagréable ; et que celle des composteurs soit préjudiciable aux casses.» A.F. Momoro, Traité élémentaire de l'imprimerie, 298-9 (chez l'auteur) - J.Hé.
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