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ACCORAGE, subst. masc.
MARINE
A.− [Le compl. désigne un navire] Action d'accorer (cf. ce mot, A 1) :
1. Dans les formes proprement dites, on trouve un radiès général et des bajoyers, qui présentent du côté intérieur une succession de banquettes ou gradins destinés à faciliter l'accorage des navires. Quinette, Rochemont, Travaux maritimes,t. 1, 1900, p. 532.
2. On appelle « accorage » l'opération qui consiste à faire tenir un navire en équilibre à sec, dans un bassin par exemple, pour le peindre, pour visiter ses œuvres vives, pour changer son hélice. L'opération peut se faire sur une plage. Le Clère1960.
B.− Ensemble des éléments utilisés pour accorer (cf. sup. ex. 1) (Ac. Compl. 1842, Besch. 1845, DG).
Prononc. : [akɔ ʀa:ʒ] (cf. Harrap's 1963).
Étymol. ET HIST. − 1835, Ac. 1798, Suppl. s.v. : Accorage. Action d'accorer, d'assurer par des accores ou étaies une pièce qui pourroit tomber ou se renverser. Dér. de accorer*; suff. -age*.
BBG. − Chesn. 1857. − Gruss 1952. − Jal 1848. − Le Clère 1960. − Mots rares 1965. − Will. 1831.