MIEL n. m.
X^e siècle, mel. Emprunté du latin mel, de même sens. Substance sucrée, sirupeuse, que les abeilles élaborent avec le nectar qu'elles recueillent en butinant sur les fleurs. Les abeilles entreposent le miel dans les alvéoles des rayons de la ruche. Un gâteau de miel, voir Gâteau. Un rayon de miel. Miel d'été, de printemps. Miel de bruyère, de lavande, d'acacia. Miel de montagne. Des bonbons au miel. Mouche à miel, désigne parfois l'abeille. Par ext. Miel de miellat, voir Miellat. Fig. Pour désigner ce qui est d'une douceur agréable. Le miel de l'éloquence. Ses paroles étaient de miel. • Loc. et expr. fig. Faire son miel de quelque chose, en faire son profit, en tirer un agrément. Être tout sucre et tout miel ou tout sucre tout miel, faire montre d'une douceur, d'une amabilité, d'une docilité forcées, exagérées. Lune de miel, voir Lune.