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ÉQUIPOLLENCE, subst. fém.
Fait d'être équipollent.
A.− Vx. [Correspond à équipollent A] Et ce n'est pas leurs lois [de nos maîtres charnels] et leurs équipollences Qui feront notre loi quand nous serons jugés (Péguy, Ève,1913, p. 875).
B.− En partic.
1. LOG. [Correspond à équipollent B 1] ,,L'équipollence des propositions. Propriété des propositions qui reviennent, qui équivalent l'une à l'autre`` (Ac.).
2. MATH. [Correspond à équipollent B 2] :
La représentation géométrique des nombres complexes est à l'origine des travaux de Bellavitis qui, entrepris à partir de 1832, le conduiront à sa « théorie des équipollences », première présentation d'ensemble d'un calcul sur les grandeurs dirigées. Hist. gén. sc.,t. 3, vol. 1, 1961, p. 18.
Prononc. et Orth. : [ekipɔlɑ ̃:s]. Cf. équi-. [ll] notés ds Fér. 1768, Fér. Crit. t. 2 1787, Land. 1834, Gattel 1841, Nod. 1844, Besch. 1845. Ds DG on admet la prononc. avec [ll] à côté de celle usuelle avec [l]. Le mot est attesté ds Ac. 1718, s.v. équipolence. Ds Ac. 1740-1932 avec 2 l. À comparer avec équipo(l)lé. Étymol. et Hist. 1275-80 equipollences (J. de Meun, Rose, éd. F. Lecoy, 11750). Empr. au b. lat. aequipollentia « équivalence ». Fréq. abs. littér. : 3.